125 pages - 29 photos couleur - Format 14,85 x 21 cm
10 € TTC
ISBN 978-2-7466-374-9
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SYNOPSIS
Sur la Route d’Anfield est
un carnet de route relatant les pérégrinations d’un français sur les
bords de la Mersey. Si son amour du football l’attire inévitablement
vers les lieux cultes et les fans du Liverpool FC, il pose aussi un
regard étonné, amusé et souvent ému sur les particularités et l’histoire
de cette ville et de ses habitants.
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SOMMAIRE
1 - PRÉPARATIFS FESTIFS
2 - ESCALE LONDONIENNE
3 - « DEPUIS QUE JE SUIS NÉ !»
4 - SI LES DOCKS M’ÉTAIENT CONTÉS
5 - LIVERPULDIENS VS EVERTONIENS
6 - UN MATCH À ANFIELD : ACTE I
7 - L’ÉCHO DE LIVERPOOL
8 - CROISIÈRE SUR LA MERSEY
9 - LA MÉMOIRE DE GERRY
10 - DANS L’INTIMITÉ DU MYTHE
11 - COUP DE BLUES SUR MATHEW STREET
12 - LIVERPOOL AUTREMENT : BOOTLE ET CROSBY BEACH
13 - AU THOMAS RIGBY’S PUB
14 - D’EVERTON A SHANGHAI
15 - DES GRENOUILLES CHEZ CARRAGHER
16 - THE BEATLES STORY
17 - UN MATCH À ANFIELD : ACTE II
18 - THE END
19 – CARTES POSTALES
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EXTRAITS
Chapitre 1 : Préparatifs Festifs
La fille au téléphone semble plutôt jeune et le son de sa voix est
agréable. Pourtant, lorsque je recoupe les syllabes prononcées à la
vitesse d’un TGV passant en rase campagne, ses paroles ne signifient
rien pour mon cerveau surpris et tout à coup pris de dépit. Durant les
trop longues années que mon arrière-train passa à user les bancs de
l’école publique, j’avais bien intégré quelques notions linguistiques
mais force est de reconnaître que mes généreuses oreilles peinent à
décoder le message de mon interlocutrice liverpuldienne. Liverpuldien,
un terme quant à lui bien français désignant un habitant de Liverpool,
je me sens obligé de préciser. Certaines âmes bien intentionnées
m’avaient bien alerté quant à leur accent, précisant, pour appuyer leurs
dires, que même les autres anglais du Royaume se désespéraient de cette
singularité locale. Un particularisme linguistique si marqué qu’on lui
attribua un nom spécifique : le scouse. Loin de se satisfaire de sa prononciation originale, le scouse
dispose aussi de son propre vocabulaire. À l’instar des nombreux
charmes locaux, son origine est à rechercher dans le passé portuaire de
la ville. À force de mélanger les cultures des peuples en débarquement
ou en partance, Liverpool a fait de son parler un melting pot
idiomatique. Une base d’accent du coin, le Lancashire, un saupoudrage
d’irlandais, de gallois, d’écossais et même un zeste de français,
d’allemand et de néerlandais finiront de donner à ce langage une
sonorité aussi étrange qu’unique.
Me voilà donc à tenter de dialoguer avec une scouser et avec pour
seul bagage mon anglais balbutiant. Fatale confrontation, puisqu’au
bout de quelques secondes, elle abandonne la bataille en même temps que
son combiné afin d’aller chercher un renfort opportun. Durant cette
pause inquiétante, mes yeux fixent l’écran du téléphone. La rapidité du
défilement du compteur me confirme la lointaine distance entre ma cabine
téléphonique niçoise et les rives de la Mersey, fleuve traversant
Liverpool avant de se jeter dans la mer d’Irlande. Si je suis tant
cultivé sur la géographie du nord-ouest de l’Angleterre, c’est que je me
trouve en pleins préparatifs festifs pour un chiche séjour chez les English.
Ma nouvelle interlocutrice me propose le même accent mais semble plus
disposée à faire preuve de patience, me répétant lentement chacune de
ses phrases jusqu’à ma totale compréhension. Souhaitant me procurer des
places de match afin de pénétrer dans le mythique stade du Liverpool FC,
Anfield, je comprends que la vente est réservée en priorité aux membres
du club des supporters locaux. Cette triste nouvelle confirme l’idée
répandue selon laquelle il est plus difficile de se procurer un billet
pour Anfield que pour n’importe quelle autre enceinte de notre bonne
vieille Ligue 1 française. Permettez-moi de préciser que je parle
en connaissance de cause (désespérée) puisqu’un étrange matin
printanier, une sombre idée germa dans ma petite tête de supporter de
l’OGC Nice avant d’éclore brillamment au cœur de l’été suivant : suivre
durant toute une saison mon équipe préférée dans tous ses déplacements,
soit dix-neuf étapes à travers le pays[1].
Après ces escapades hexagonales, j’ambitionne désormais de vérifier si
l’herbe anglaise est plus verte que nos pelouses françaises. Pour cela,
encore faut-il que je parvienne à dégoter une place de match. Inquiet
par cette déconvenue téléphonique mais pas découragé pour un pound [2],
je parviens, par l’entremise d’Internet, à prendre contact avec un
liverpuldien, John, qui me rassure en me promettant de faire tout son
possible pour m’obtenir un sésame. Evidemment, je ne connais pas les
capacités de John à tenir une quelconque promesse. D’ailleurs, je ne
connais pas John du tout.
Au travers de quelques correspondances éparses, j’apprends tout de même
qu’il est supporter du Liverpool FC depuis le 23 février 1985, jour où
son grand-père le traîna au stade en compagnie de son oncle, bizarrement
et seulement âgé de neuf mois de plus que lui. Un peu plus tard, John
suivra son père afin d’assister à quelques matchs d’Everton, l’autre
équipe de football de Liverpool. Après un but marqué par un joueur
d’Everton, John se souvient avoir posé à son père la question la plus
stupide de sa vie : « Les joueurs vont-ils rejouer l’action du but au
ralenti ? ». Relation de cause à effet ou pas, c’est au cours de cette
même année que son père quitta la maison familiale et que John devint un
supporter inconditionnel de sa mère et du club haï par son père, le
Liverpool FC.
La date de mon départ approchant dangereusement, je m’inquiète du moyen
de locomotion qui transportera mon corps de quadragénaire vers
l’Angleterre. Le débarquement sur une île s’envisageant prioritairement
par la voie maritime, je songe un instant à enrichir mon voyage d’une
intensité dramatique en mettant les voiles au départ de Nice,
destination Liverpool via la Méditerranée, le détroit de Gibraltar et
l’océan Atlantique. Mais il faudrait pour cela que je m’initie à la
navigation, activité pour laquelle je n’ai ni le goût ni le don.
Passons.
Cédons plutôt au modernisme et à la rapidité en lorgnant vers l’espace
aérien international. Non pas que je maîtrise l’art du pilotage, mais je
me dis que je dénicherai bien une charmante compagnie aérienne
acceptant de me prendre sous son aile ou dans l’idéal, sur un de ses
sièges. Tout heureux d’apprendre qu’il est possible de rallier
directement Nice à Liverpool, je saute sur l’occasion, ou plus
précisément sur ma souris, pour profiter de l’aubaine. Pas de veine,
nous voilà hors saison et l’anglais étant peu enclin à visiter le Comté
niçois et sa Promenade à cette époque, la liaison est interrompue le
temps que la marmotte ressorte de son trou. Sale bestiole.
...
[1] « Une saison avec le Gym », éditions Baie des Anges.
...
[1] « Une saison avec le Gym », éditions Baie des Anges.
[2] Pound = Livre Sterling
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Chapitre 8 : Croisière sur la Mersey
J’attends sur le quai. Avec ses reflets brunâtres, la Mersey n’est pas
très accueillante aujourd’hui. Qu’importe, elle suit lentement son cours
avec l’insouciance de celle qui sait que ses heures sont comptées. Dans
quelques instants, elle ira se noyer dans l’eau salée portant les
immenses ferries vers la verte Irlande. Des irlandais qui attendaient
sur ce même quai, il y a près de 150 ans. La fuite d’un pays ravagé par
la grande famine déversa en effet des centaines de milliers d’entre eux
sur les rives de Liverpool dans l’attente d’un rafiot pour l’Amérique et
son rêve promis. Le parallèle avec ma petite personne s’arrête là. J’ai
la peau du ventre bien tendue et je projette simplement d’emprunter un
bateau pour rallier la rive d’en face pour voir à quoi ressemble
Liverpool lorsque je n’y suis pas.
Une fois mon ferry arrivé et fermement arrimé, l’équipage descend le
pont métallique permettant l’abordage pour une croisière d’une heure et
demie, si tout se passe bien. Je ne sais pour quelle étrange raison je
mets en doute la fiabilité de la compagnie puisque voilà 800 ans que des
ferries se baladent sans encombre par ici. Enfin, je crois.
Si la construction de deux tunnels routiers en 1934 et 1971 a
significativement réduit le trafic sur le fleuve, il reste encore
quelques fans de ce moyen de locomotion. Des touristes, probablement,
puisqu’en cette période automnale, nous ne sommes pas plus de dix
pèlerins à nous partager le pont aujourd’hui. Tant mieux.
Lorsque les eaux de la Mersey atteignent Liverpool, elles ont déjà
parcouru une bonne centaine de kilomètres, distance qui les sépare de sa
source située aux abords de Manchester. Alors que je m’appesantis sur
l’étrangeté de sa couleur, j’apprends pourtant que ce fleuve fait
l’objet, depuis 1985, d’un traitement de manière à assainir ses fonds
largement malmenés par une activité industrielle datant de plusieurs
siècles. D’après les informations disponibles sur le ferry, si l’idée me
venait de plonger une canne à pêche ici-même, je pourrais avoir une
petite chance de découvrir un saumon sauvage au bout de ma ligne. Un
signe, paraît-il, d’une réelle amélioration de la qualité de l’eau
puisque ce genre de poisson daignerait se baigner uniquement dans des
zones d’une propreté irréprochable.
Debout sur le pont, j’admire la baie de Liverpool et sa façade maritime
inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, faut-il le rappeler.
L’entrelacement des styles architecturaux est toujours aussi surprenant.
Un bâtiment attire inévitablement l’œil par ses quatre-vingt-dix mètres
de hauteur et ses deux tours sur lesquels deux oiseaux jouent aux
équilibristes. Le « Royal Liver Building » fut inauguré en 1911 et
présente la particularité d’être l’un des premiers édifices construits
en béton armé. Il est surmonté de deux horloges plutôt fières d’être
d’un diamètre supérieur à celui de Big Ben. Quant aux oiseaux si haut
perchés, ils représentent le symbole de la cité. C’est à ce titre qu’ils
fleurissent un peu partout en ville de même que sur les tuniques du
Liverpool FC. Inutile de chercher à observer cette espèce près de chez
vous puisque si le « Liverbird » est mi-cormoran, mi-aigle, il
est surtout complètement mythique. La légende dit qu’il s’agit d’un
couple dont le mâle contemple la mer d'Irlande pour veiller sur les
marins tandis que la femelle veille sur les femmes et les enfants restés
dans la cité. Un jour, ce couple d'oiseaux décidera de s'envoler et ce
jour marquera la fin de la ville de Liverpool. C’est probablement la
raison pour laquelle les liverpuldiens ont fermement attaché leurs
pattes au toit du bâtiment. Sait-on jamais…
Le temps de prendre quelques clichés, je rentre rapidement me mettre à
l’abri d’une trop généreuse brise qui, mêlée à quelques giclées d’eau
provoquées par une brusque houle, rafraîchit soudainement mon corps de
méditerranéen frileux.
Quelques minutes plus tard, me voilà à nouveau sur le plancher des vaches, marchant en direction du centre-ville.
La conduite des liverpuldiens, et plus particulièrement celle de leurs
chauffeurs de taxi, n’a parfois rien à envier aux fous du volant du sud
de l’Italie. Non seulement le passage piéton n’est en aucun cas un gage
de sécurité, mais leur sale manie de conduire à gauche constitue un réel
piège pour le français qui, la tête dans les nuages, regarde du mauvais
côté avant de traverser, livrant ainsi son corps à la loterie
nationale. Maintes fois, j’ai failli décrocher le gros lot avant de
finalement m’en tirer qu’avec quelques frayeurs.
C’est justement après l’une d’elles que je tombe nez à nez avec une tête
d’agneau et une queue de banane. Dans un premier temps, je me demande
si, à défaut de toute ou partie de ma carcasse, l’auto n’aurait pas
emporté avec elle une bonne dose de ma raison et de ma clairvoyance.
Mais il faut m’y résoudre, je me trouve bel et bien en face d’un
troupeau d’étranges bestioles multicolores dont la forme est largement
de nature à perturber mon esprit trop cartésien. Ces créatures sont en
fait des reproductions d’une sculpture conçue par un artiste japonais,
Taro Chiezo, qui a réuni dans son œuvre deux « produits » dont le
commerce fut jadis très florissant dans le port de Liverpool. Venue
directement du pays du soleil levant en 1998, cette création constituait
initialement un moyen de sensibiliser le monde sur les dangers de la
nourriture génétiquement modifiée. « Continuez comme ça et vos agneaux
auront des queues de bananes et vos bananes des têtes d’agneau ! » Ainsi
doit-on probablement comprendre le message du José Bové nippon…
Quoiqu’il en soit, l’œuvre a tellement plu qu’elle est devenue le
symbole du renouveau de Liverpool. Pour preuve, de multiples
reproductions de ce « Lambanana » («Agneaubanane ») paissent
paisiblement dans les quatre coins du centre-ville, sous le regard du
Liverbird qui n’en revient toujours pas de se faire voler la vedette et
clouer le bec par cette chose-là.
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AVIS DE LECTEURS
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moitié et je suis très captivé ! J'adore ! Je le conseil vivement !
J'aime énormément le ton de l'écriture !
Merci Serge de nous faire partager ce carnet de voyage !" (http://www.liverpool-france.com/)
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. "Livre terminé ! Ce livre m'a (re)donné l'envie de lire !
Les + :
Bien raconté avec un bon croisement de passages narratifs, descriptifs et un peu de suspense (par moments).L'ouvrage ne parle pas que de foot (de l'histoire de la ville, des habitants, monuments).
Les illustrations.
Les - : aucun !
Cet ouvrage est une petite merveille que je recommande à tous, surtout ceux qui ne sont pas déjà allés à Liverpool." (http://www.liverpoolfr.com/)
. "Superbe livre ! Superbe
histoire d'une ville et d'un club. Je me suis retrouvé dans cette
lecture et mes souvenir sont revenus de ma premiere visite dans cette
ville unique que l'on ne peut qu'aimer !"
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PHOTOS
PHOTOS
Sur la Route d'Anfield, Liverpool en photos.
Rita's B&B |
Centre-ville |
Albert Dock |
La Mersey depuis les quais d'Albert Dock |
Titres de la presse locale après le désastre du Titanic |
Equipage du Titanic |
Port of Liverpool |
Royal Liver Building |
Quais abandonnés. |
Royal Liver Building |
Ancien dock transformé en marché (le dimanche). |
Stanley Dock (ou ce qu'il en reste) |
Boutique LFC à Liverpool One |
Liverpool - Naples |
Centre-ville |
Lambanana |
Liverpool One |
Ferry sur la Mersey |
Front de rivière |
Les Liverbirds veillent sur la ville ! |
Bill Shankly veille sur Anfield ! |
Pub The Park |
Ma boulangerie préférée (en face de l'entrée du Kop) |
Maisonnettes disciplinées |
Pub The Arkles |
Mémorial d'Hillborough |
Visite d'Anfield et du Musée |
Sous la tribune |
Salle de Presse |
Vestiaire du Liverpool FC |
Couloir conduisant au terrain |
Machine à lumière |
Musée - Salle des trophées |
Musée - Salle de projection |
Boutique d'Anfield |
Gare |
Bootle : My taylor is Not rich... |
Scouse : enjoy your meal ! |
Boutique 100% Beatles - Mathew Street |
Mathew Street |
Centre-ville - Zone piétonne |
Centre-ville - Vendeur ambulant d'écharpes |
Liverpool One |
Vue d'une colline en direction d'Everton |
Everton Stadium (enfin, l'extérieur...) |
Everton, le salon de Susan... |
Rue d'Everton, avant la fin du monde, probablement. |
Stade d'Everton, vu de (très) loin |
Boutique du Liverpool FC, centre-ville |
Boutique d'Everton FC à Liverpool One |
L'autre Liverpool "FC" |
Duke Street, maison sans gêne. |
Quartier chinois |
Café Sport, Liverpool One |
Chez Rita, salle de breakfasts mémorables ! |
Musée des Beatles |
The Cavern reconstituée |
La chambre blanche, hommage à John Lennon |
Vendeur de programmes de matchs, centre-ville |
Pub The Sandon, Anfield |
Boutique pour cous |
Photo souvenir avec Bill. |
Hospitalité Liverpuldienne |
Anfield Road, avant Liverpool - Chelsea |
Anfield, The Kop |
Stadier en pleine action. |
A chance meeting... |
Virgin, un air de départ.
Retrouvez 29 photos inédites dans le livre.
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REMERCIEMENTS
Anthony Ventre, Président de la Liverpool French Branch,
pour sa disponibilité, ses conseils et pour m’avoir permis d’assister à
Liverpool - Chelsea dans des conditions privilégiées ! (http://www.liverpoolfrance.com)
Rita Lawrence, pour son accueil, sa bienveillance, sa bonne humeur… et son mémorable breakfast !
Gerry, du Hillsborough Justice Campaign shop à Anfield, pour m’avoir accordé son temps précieux et pour son dévouement. (http://www.contrast.org/hillsborough/)
John, généreux scouser (pléonasme), pour avoir répondu à mes questions barbantes et pour m’avoir dégoté un billet pour Liverpool – Naples.
Mathilde
Delamotte, pour sa disponibilité et sa patience malgré le froid durant
notre entretien. Pour son engagement envers les enfants défavorisés. (http://www.spiritanddreams.com/)
Sandrine,
pour ses judicieux conseils et ses informations sur Liverpool. Pour son
attentive et professionnelle relecture alors qu’elle n’aime pas le foot
!
(Son blog : http://britishbibsa.overblog.com/).
Benjamin Conte, écrivain montpelliérain de la Paillade, pour ses encouragements et pour son soutien passionné. (http://www.edilivre.com)
Guy Reydellet, supporter et poète à l’âme rouge et noire, pour sa relecture sans concession.
Faro, dessinateur nissardo-madrilène, créateur du logo « Je Voyage en Ballon ».
(http://www.illustranette.com/)
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ON EN PARLE...
On parle du livre à la télévision (AZUR TV) :
OVVR du 16/9/11 Sur la Route d'Anfield sur Nice... par niceazurtv
On parle du livre à la radio (NRJ) :
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